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Le pendule des bâtisseurs - - Trajectoire - 128 pages

Le pendule des bâtisseurs


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«   il arrive d'attribuer par la pensée à un certain sujet aussi bien singulier qu'universel, une certaine condition dont on n'a pas appris du sens qu'elle lui convient, mais dont on sait avec certitude par le sens qu'elle convient à quelque chose qui lui est semblable.  Â» Al Kindi, traité des rayons

la couverture du livre
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Le livre

L'ancienne édition du Pendule des bâtisseurs était parue aux éditions F. de Villac qui furent en leur temps les diffuseurs du pendule. L’illustration de couverture est une « photo Kirlian » réalisée avec le pendule. Elle montre selon des thèses répandues chez les radiesthésistes dans les années 1980 comment ce pendule « émet » dans l'espace. Je suis l'auteur du livre mais également le créateur du pendule en question. En dehors des particularités tout à fait exceptionnelles du pendule des bâtisseurs, cet ouvrage présente une méthode de radiesthésie que je pratique et enseigne depuis 1968.

Le Pendule et son histoire

J’avais, pour protéger le consommateur, et il faut le dire pour que sa vente me rapporte quelque argent, déposé le modèle du pendule des bâtisseurs. Puis, n’ayant pas l’âme d’un gestionnaire, j’en avais fait réaliser une « série prototype » (1000 exemplaires) par un décolleteur. J’en avais ensuite confié la diffusion aux éditions F. de Villac, qui éditaient la première version du livre. Je leur avais confié également la fabrication de pendules conformes au modèle déposé… Bref, par contrat, l’éditeur s’occupait de tout y compris de faire fabriquer les nouvelles séries de pendules. J’appris par l’éditeur qu’il avait négocié la fabrication de la nouvelle série à 19 francs, quand j’en avais payé 35 pour faire fabriquer les pendules. Je ne vis les nouveaux pendules que quelques mois plus tard. Ils n’étaient pas conformes au modèle déposé.
J’envisageai un procès et consultai plusieurs avocats spécialistes des droits industriels – tous me déconseillèrent d’entreprendre cette démarche, m’affirmant que, compte tenu de la nature du produit, le procès était perdu d’avance… La contrefaçon envahit le marché.
Quand en 1998 un contrat fut signé pour la réédition de l’ouvrage avec les éditions Trajectoires qui appartenaient à l’époque à la Librairie de l’inconnu, en accord avec l’éditeur qui devait faire fabriquer les pendules un avertissement fut introduit en tête de l’ouvrage, montrant la différence entre le pendule déposé et le pendule contrefait. En dépôt de ce qui avait été convenu, le pendule authentique ne fut pas réédité : le modèle qui devait servir à tourner la nouvelle série fut perdu trois fois. Je finis par comprendre sans qu’on ait besoin de me l’expliquer que l’éditeur était face à un conflit d’intérêts et ne pouvait tenir cet engagement.
En 2010 le pendule tombait dans le domaine public (25 ans après son dépôt à l’INPI). Aujourd’hui n’importe qui peut donc appeler n’importe quel bout de ferraille « pendule des bâtisseurs ».

La chose n’est pas si grave

Le pendule des bâtisseurs original, tenait ses propriétés d’une théorie sur les émissions dues aux formes, et d’une mise en application rigoureuse de cette théorie. Le fait que 1000 exemplaires authentiques furent vendus et utilisés avec succès tant en « émission » qu’en « réception » créa selon les théories de Sheldrake un champ morphique auquel fut attaché le nom « pendule des bâtisseurs » et les contrefaçons se comportèrent à peu près comme le pendule original… Il serait possible d’expliquer le phénomène par la métaphysique classique, mais l’explication par les champs morphiques (quoi que moins complète) est plus accessible à nos contemporains.






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